Vététiste qui surfe sur notre site, pas facile de résister aux ” pistouilles ” des monts du Cantal. Nos ” montagnounes ” sont sublimes.
Même nous, a priori habitués, n’en revenons toujours pas, et à chaque sortie.
Le balisage du circuit n°5 de Mandailles mérite sûrement une autre couleur.
Du noir par exemple ou du rouge très foncé.
En effet, il faut être en forme pour affronter les bosses de ce circuit. Mais le paysage vous le rendra au centuple de l’effort.
Un peu bourru l’autochtone, non ?
Richard étrenne sa nouvelle monture. Toutes les configurations y passent.
Ici, façon béquille.
Et là, sur sa monture.
Nos paysages :
Enfin en haut.
Edmond est heureux car il sait que nous allons prendre du plaisir dans cette superbe descente.
Une descente trop technique pour certain. Je dis ça… je dis rien.
Olive et Richard s’imprègnent de la trajectoire avant d’amorcer la pente.
Et là, c’est le drame.
Un nuage de poussière m’empêche de réaliser un superbe cliché. Un vélo américain d’un coté et un vététiste français de l’autre.
D’un rebond, le Dériv’Chaînes se relève. Il sait qu’un reporter objectif avec un objectif est là, derrière lui. Même si tu as mal, il ne faut surtout pas traîner au sol.
Explication du champion :
” Ma roue avant s’est dérobée “.
Se dérober v. pron. (sujet chose) Se dérober sous, s’effondrer.
Un Dériv’Chaînes ne se remet jamais en question. Le matériel… Toujours.
Et Ed remplace notre docteur habituel, Pierre.
Après toute les balourdises sur la chute d’Olive, nous pouvons remonter sur nos montures.
Là, pas le droit à l’erreur pour les autres. Le Dériv’Chaînes est taquin.
Entorse au circuit, nous passons à côté du lac des graves et ses roulottes. Très joli cadre cet hôtel, restaurant sur la commune de Lascelle.
Et dire qu’une fois l’été fini, nous serons encore dans ces montagnes. Nous avons toujours une superbe arrière saison.
De bien belles balades en perspective (Vallée verte, New TransVicoise, Notre rondes des lacs, etc.)
FIN
Photos et textes : Jeanmi